Parfois, au regard de certains aspects de notre passion, on pourrait presque en oublier ce pourquoi on vient au bord de l'eau.

Quand on se prend au jeu également... Ce mois d'octobre m'aura donc vu faire quelques sorties sans forcément la réussite espérée. Pas mal de très jolis poissons n'arriveront pas jusqu'à mon épuisette. Tant pis. Peut-être, après tout, que je ne les méritais pas ?

La transition des feuilles mortes

Malgré tout, certaines sessions courtes me donneront l'occasion de profiter du paysage et de retourner sur des spots que je n'avais pas fréquenté depuis longtemps.

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Avec parfois cette impression de voyager en restant chez soi tout en y ajoutant un temps irlandais ou écossais...

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Il y a bien quelques modestes prises. Avec parfois des clients un peu plus sympas qui valident de vieux "patterns" sur de vieux spots.

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Le coup de l'écrevisse... Un vieux truc qui semble toujours fonctionner et utilisé par d'autres d'après ce que j'ai vu de loin.

La transition des feuilles mortes

Les habituels clients de mes pêches rapides en mode "street fishing"...

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Toujours mordeur et bien souvent réceptif, le chevesne sauve bredouille, le chevesne qui réconcilie quand toutes les autres espèces se décrochent devant l'épuisette...

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Et puis il y a eu aussi une prise de température sur des espèces que je ne pêche pas forcément aussi tardivement comme ce bon vieux diable vert.

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La transition des feuilles mortes

On valide quelques cranks et mes éternels lézards en Texas-rig.

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Des poissons en pleine forme mais pas de la bonne taille. Petite pensée émue à ces Youtubeurs et autres sponsos qui se cassent les dents ici. Heureusement qu'ils n'ont pas vu les prises de mon ami David... Ils seraient encore en réanimation.

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D'ailleurs oui, histoire de changer, j'ai pris un matou. De mémoire je crois que c'est le troisième avec David et le deuxième sur ce combo en plusieurs années et toujours en traquant le bass. C'est assez ironique. Jamais 2 sans 3, donc cette fois c'est validé ! Place aux autres epsèces...

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